

La cantate intérieure
La pièce a été saluée pour sa profondeur émotionnelle et sa réflexion sur le rôle de l’art dans la société. Dorothée Berryman, dans le rôle de Claire Bonaparte, a été particulièrement remarquée pour sa prestation captivante.
« Ce n’est pas parce qu’on n’a jamais mis les pieds quelque part, que ça ne nous habite pas… »
Un messager de la compagnie UPS sillonne les routes du continent pour livrer des paquets. Un jour, alors qu’il est pris dans un embouteillage, il est frappé par la vue, à travers la fenêtre d’un immeuble, d’une silhouette de femme. Partant à sa recherche, il se retrouve dans une maison de chambres désaffectée, plongé dans une installation in situ, au cœur de laquelle une voix féminine venue d’une autre époque s’adresse au visiteur. Qui parle sur la bande ? Et qui était cette femme à la fenêtre ? Alors que la porte de la chambre s’entrouvre, une inconnue paraît et un face-à-face inusité s’engage.
Dans un chassé-croisé d’images numériques et de voix off, La cantate intérieure nous entraîne dans cette curieuse mécanique qui est celle de l’art et de ses illusions, mécanique qui berne tantôt celui qui regarde l’œuvre, tantôt celui-là même qui l’a créée.
Scénographie
Costumes
Coiffures et maquillages
Musique et son
Éclairage
Direction technique
Direction de production
« […] l’auteur donne naissance à une rencontre des plus salvatrices. »