

Dans ma maison de papier, j’ai des poèmes sur le feu
Une petite fille nous fait visiter sa maison imaginaire ; quand la lumière s’éteint et se rallume, voilà qu’elle est devenue une vieille dame dans une maison qui lui semble soudainement bien petite.
C’est alors qu’un promeneur mystérieux se présente à la porte de la maison et annonce à la vieille dame qu’elle va mourir. Comment est-ce possible ? Hier encore, elle était une enfant. À preuve, ces chaussures qu’elle a toujours aux pieds.
Mourir, d’accord, mais pas avant d’avoir rendu ses souliers à la petite …
Scénographie et costumes
Geneviève Lizotte
Coiffures et maquillages
Sylvie Rolland Provost
Musique et son
Olivier Gaudet-Savard
Laurier Rajotte
Éclairage
Martin Sirois
Direction technique
Slim Dakhlaoui